le marais gardien de la diversité

un partage d'expérience vers le mieux être

samedi 27 décembre 2008

Joël Gamelin est parti

Le désastre.
Comme il était généreux cet homme qui avait réussi sa vie !
Il a craqué et laissé un tel désordre. Paix à son âme.
La valeur de l'homme reste immense. Pardonnons lui cet effondrement.
Mais comment les aider tous ces gens malheureux de subir la pression des autres ?
Comment leur rappeler toutes leurs valeurs essentielles et les aider à se pardonner leurs imperfections ?
Je les admire tous ceux qui vivent dans l'implication personnelle et donnent tout ce qu'ils peuvent.
Je me joins aux mille pensées pour sa famille. Puisse t-elle se souvenir d'abord de son amour, pour arriver à traverser cette terrible épreuve pour elle, à son tour.

samedi 20 décembre 2008

Un peu de kinésiologie !

Bonjour à vous.

Un petit peu de kinésiologie appliquée.
Bizarre comme la mémoire du corps a enregistré toute votre histoire émotionnelle.
Surprenant comme certains arrivent à ressentir et détecter ce que vous n'arrivez pas à voir en vous même.
Pour moi, une petite séance et hop, me voilà branché sur "la beauté"
Que de phrases qui vous émeuvent et vous mènent vers l'expression de votre comportement véritable, naturel, chargé de toute l'innocence de votre enfance.

La beauté est partout. La moindre petite fleur, les reflets grisés de la lumière à la surface de l’eau, la force tranquille des grands arbres, tout rayonne de la beauté naturelle du monde.

La nature me réjouit, me régénère, me fait du bien. Les choses simples de la vie me procurent un sentiment de détente et de joie ; elles sont douées d’un pouvoir de guérison.

Quand je porte un regard d’amour sur la nature, il m’est facile de porter un regard d’amour sur moi-même. Je fais partie de la nature et j’ai ma beauté propre, unique.

Où que se tourne mon regard, je vois la beauté. Aujourd’hui, je vibre à l’unisson de la grande beauté de la vie.


Et hop, voilà pour vous...

Passez de magnifiques instants sur votre chemin de ce jour.


lundi 24 novembre 2008

Avez-vous le coup de pédale ?

J'étais, ce matin, encore en action.

J'avais enfourché mon vélo pour faire ma petite ballade en bord de mer, sur ce magnifique chemin du littoral; un bon bol d'air pur et iodé dans la pratique de mon sport de jeunesse : un vrai bonheur.
Une, deux, j'appuie sur mes pédales; "allez...", je m'encourage lorsque la pente s'élève ou que le vent forcit.
Cet exercice dont la saveur m'a été transmise par mon père, cycliste amateur, entraîne mon organisme dans l'entretien de ses fonctions naturelles : mes poumons s'oxygènent, mon cœur bat pour faire circuler le sang neuf ainsi revigoré, tout les organes de mon corps et mon cerveau sont aérés, nettoyés; les toxines sont rejetées, les tensions sont apaisées.

Je me souviens de ces temps encore proches ou j'avais du mal; mal à vivre, difficulté à garder mon équilibre sur cette digue étroite ou le chemin côtier ne présente plus qu'une simple bande de roulement en bord des enrochements qui protègent la stabilité de la côte.
Aujourd'hui, j'oublie, à force de m'être confronté aux peurs, de les avoir acceptées, d'avoir répété souvent les bonnes attitudes, et je retrouve le naturel instinctif, plus besoin de gamberger, la confiance est revenue, il n'y a plus qu'à laisser faire le corps et l'esprit, une fois la direction définie, les objectifs tracés.

Donc un vrai bonheur lors de cette ballade de sentir le vent, admirer le soleil et les nuages sur la mer agitée; une action salvatrice par la pratique de mon sport favori.
Je vous raconte ma vie en espérant que vous pourrez le faire à votre tour.

Ressentez, exprimez, partagez ...
donnez à vos proches un peu plus de vous,
ils vous le rendront largement
et sachez alors accepter ces attentions et vos mérites.

Chaleureusement, Patrick.

samedi 22 novembre 2008

Le point de rupture de l’édition traditionnelle.

Lors du XVIe Congrès de la presse, tenu le vendredi 21 novembre 2008 à Lyon, Alain Metternich, nouveau président de la Fédération nationale de la presse française qui regroupe tous les éditeurs, a souligné que, confrontée à une crise sans précédent, la presse doit trouver un nouveau modèle économique.

Quelques extraits éloquents :

- "elle doit impérativement évoluer pour se donner les vrais moyens de son développement" ;
- "il y a urgence à réformer le régime des droits d'auteur applicable à la presse écrite" ;
- "l'absolue nécessité de réduire les coûts de production en conduisant une restructuration industrielle de grande ampleur".

Confrontés à des coûts d'impression en France de 30 % à 40 % plus chers qu'à l'étranger, ainsi qu’à des intérêts divergents, les éditeurs recherchent de nouvelles conditions sociales et fiscales d’exercice de leur activité.

En regard de cette production traditionnelle, l’édition des livres électroniques se trouve encore plus offrir une alternative à la diffusion des sciences sociales, humaines, techniques ou économiques toujours plus aisément accessible.

L’avenir sera le témoin d’une ouverture phénoménale de l’information et de la culture auprès des lecteurs d’ebooks, de flux d’information automatisés, de nouvelles formes informatisées sur la toile, le Net, d’ouvrages et documents sur tous les sujets.

L’édition papier sur commande individuelle répondra aux demandes particulières des lecteurs qui, par plaisir ou par nécessité, souhaiterons disposer d’un livre pour l’apprécier ou le transporter selon leurs besoins.

Vivons donc d’espoir avec le développement et la vulgarisation des technologies modernes de communication. Nous allons pouvoir nous entraider à chaque désir de partage, dans un système auquel chaque individu va contribuer et en tirer de magnifiques bénéfices.

Haut les cœurs à tous les copywriters.

.

vendredi 14 novembre 2008

Hugues Auffray

Hugh ! à Royan le 7 novembre.

Un peu de soleil en bord de mer et une petite ballade sur le chemin des douaniers, un prélude au spectacle de la soirée.

Tout empreint de naturel, de simplicité, un chanteur qui a réussi, mûr et en pleine santé, avec un langage transparent et engagé dans les valeurs essentielles de nos journées quotidiennes.

Une voix claire et quatre guitares qui s'entraînent, qui emportent les cœurs et les corps, la salle frémit sous les vagues musicales et la présence des donneurs de bonheur.

Une petite histoire de respect de l'enfant et de l'animal : le bonnet d'âne.
Pourquoi donc traiter cet animal de bête, et affubler nos enfants d'une marque rouge à l'âme bafouée par ces sévices d'adultes inconscients et irresponsables ?

Si vous en avez l'occasion, offrez vous une belle ballade de ce genre. Votre esprit rencontrera encore de beaux bonheurs.

"Que l'amour vous emporte"

dimanche 9 novembre 2008

De beaux objectifs

Mes objectifs pour 2009

Rayonner : trouver un équilibre encore meilleur, ressentir les beautés de la vie, à chaque jour, à chaque instant, laisser vibrer mes émotions, en jouir, et les laisser s'écouler librement. Que de beaux instants, que de beaux souvenirs.

Partager la chaleur de mon feu intérieur qui crépite doucement et auprès duquel chacun peut trouver écoute, réconfort, exemples de comportement.
Que vous tous puissiez parcourir vos chemins de découverte, en confiance, avec courage, en persévérant jusqu'à l'abondance.

Le parcours vers l'atteinte de mes objectifs

Parler, essayer, le tenter à chaque moment, à chaque obstacle, afin d'un regard éclairci sur les réalités, d'un partage avec tout un chacun, d'un échange constructif pour un enrichissement respectif.
Allez, du courage, oser c'est l'ouverture vers l'autre, oser c'est se libérer du passé et s'améliorer. C'est quand même réconfortant d'avoir essayé.

Rire et sourire, prendre un peu de hauteur sur les évènements, lancer un regard amical sur nos réactions parfois encore puériles, faire preuve de compassion envers nous et nos proches, envers notre prochain.

La découverte de l'abondance

Devenir éditeur internet, l'occasion d'apprendre à écrire et à faire dans un domaine nouveau : le renouveau.
Offrir à ceux qui sont prêts l'opportunité de pistes de réflexion et de meilleure maîtrise de leur existences.

A vous

Respirez
Observez
Jouissez de la vie
Que ce jour soit merveilleux pour vous.



samedi 2 août 2008

Le rêve de puissance.

En cette nuit du 2 août 2008, au petit matin, je m’éjecte de ce rêve douloureux par un sursaut qui me fait prendre conscience partielle des idées qui fusent en tous sens : je cours, je cours, m’enfuis, me sauve, comme un dératé, comme si c’était la bonne échappatoire ….

Ce poids lourd qui me poursuit ne me lâche pas, il rugit, vrombit, soulève la poussière, dérape et repart aussitôt, il veut absolument me rattraper, me coincer, m’écraser de toute sa masse pour me détruire ; j’ai peur, mon cœur bat, je transpire, toutes mes capacités physiques sont mobilisées, tous mes réflexes me font réagir, virevolter ; mon instinct primaire se manifeste instinctivement pour ma survie, sans chercher à comprendre l’événement, sans pouvoir distinguer le vrai du faux, le ressenti de la réalité, l’urgence c’est bien de rester sauf, vivant, de continuer à respirer.

Je souffle, reprends un peu de force et d’énergie et va savoir comment mais je me retourne, je fais face à ce monstre métallique animé de je ne sais quelle force incommensurable….Oh ! Ce n’est qu’un petit camion pas si important, une fourgonnette qui a l’air plutôt légère avec son pare choc bien modeste et ses câbles tendus pour tenir la structure.

Et si dans l’action imaginée, je trouvais le moyen d’un peu de recul, la capacité à regarder, à examiner, à décortiquer l’événement. Y verrais-je le conducteur ? Me dirait-il sa colère, sa raison de m’en vouloir, son acharnement à régler une situation insupportable.

Est-ce un ennemi, une rancune, un dysfonctionnement, une rancœur, … ?

Est-ce le châtiment, la vengeance, la pure violence du pouvoir … ?

Est-ce un ami, un parent, un enfant, « mon enfant intérieur » qui me portent dans leur âme et m’indiquent le besoin, la nécessité de changer pour sortir de ce déséquilibre permanent, de ces tensions indues, de ce mal-être stérile ?

Me verrais-je moi, à rechercher toujours la culpabilité, la souffrance, la misère ?

Une monnaie d’échange pour me laver de mes erreurs, pour la rédemption de mes péchés … !

Un petit « mea culpa » et hop tout est fini.

Et non, la culpabilité c’est tenace, c’est conforme à ce qui m’a été inculqué, à ce que j’ai inconsciemment accepté.

Et puis être victime ce serait bien, plus rien ne serait de ma faute, je serais innocent dans un monde de violence.

Quand même, je comprends combien ces manifestations ont d’irréel, j’arrive à percevoir que ce ressenti n’est encore qu’un produit de mes créations, de mon inconscient qui a emmagasiné mes peurs, qui entretient toujours ce qu’il a vécu, ce qu’il a cru apprendre.

Allez, un peu de rigueur, un peu de raisonnement pour remettre les pendules à l’heure ; le passé est dépassé, les ressentis peuvent être rangés à leur bonnes places ; il n’y a plus de ces bêtes sauvages des temps préhistoriques, la réalité d’aujourd’hui est bien là, je peux m’y adapter, j’ai bien le droit de vivre simplement comme tout un chacun, j’ai bien le droit à un peu de modestie et de bien être. Le pouvoir physique, c’est dépassé. La puissance est dérisoire, elle ne fait pas le bonheur, elle ne fait pas ton bonheur ni le mien.

Alors quoi donc ?

Alors où sont les solutions ?

Juste un peu de simplicité et d’attention pour tous et pour moi aussi, c’est bien légitime !


mercredi 9 juillet 2008

Aline, ma fille





un bouquet de délicatesses, une fleur de sensibilité, une fragilité d'incertitudes, une envie de découverte de soi, une douceur latente.








Ma fille, si les vicissitudes de la vie ont bousculé un peu le chemin, si tu te trouves aujourd'hui encore sur le choix à faire vers l'inconnu, je suis de toute mon âme avec toi,

je te donne quelques pistes possibles que j'ai empruntées parfois dans ma propre souffrance, oses tenter et découvrir à chaque pas ce qui te conviens, ce qui te plaira et te fera vibrer encore dans le respect, l'amour, de toi et de tes proches.

Vive la vie, toujours une découverte, la saveur des attitudes tout au long du chemin et de ses occasions d'évolution, d'adaptation...

Je t'aime.

lundi 7 juillet 2008

Retour à Gorée

Quelques pas en cette belle ville de La Rochelle, toute animée en ce soir d'été et de festival du film, je glande, bade, me déplace nonchalant parmi tous ces badauds ivres de liberté et de loisir : des jeunes aux sourires effrontés, des adultes divers, des anciens qui baladent leur sagesse, des gens classe, des individus classifiés....

Un jeune et deux femmes, perchées sur leurs talons hauts, à la démarche guère assurée, mais qui transportent leurs transparences, leur envie de vivre et de sentir; une robe légère qui virevolte au gré des pas qui balancent les hanches et les voiles affriolants; ces dessous colorés qui attirent l'œil et mettent en valeur des formes arrondies découpées par la marque sombre des strings, découpés, ficelles, .... que de bonheur pour les regards et les esprits, pour la joie de ressentir vibrer son âme, son corps, ses envies.

Donc je vais assister à la diffusion de "Retour à Gorée", ce film sur le jazz, cette musique du fond du cœur et de l'âme, qui sourd du corps et de l'être, humilié mais bien là, prisonnier mais empli de résistance bien vivante : la négritude maltraitée.
Au travers du parcours de Youssou N'Dour, la chanson répétée au fil des étapes, un peu partout dans notre joli monde, pour extraire la souffrance des corps et des esprits, et sauver l'intégrité morale, soulager les frustrations, entretenir ces forces vitales qui nous transportent dans l'avenir et nous conduisent vers l'imagination, vers l'intelligence des comportements.

Au gré des sons et des commentaires, je me sens redécouvrir mes instincts, mes capacités naturelles, mon art de la vie. Comme c'est rassurant de se retrouver humain, si faible et fragile, mais si capable d'invention, de délicatesse, de tolérance et de laisser-faire, pour que chacun selon ses propres goûts, ses propres inspirations trace son chemin, découvre à chaque pas l'émotion de choisir, d'oser et de s'accepter tel qu'il est, tel qu'il peut se comporter.

Allez, osons vibrer en nous ces espoirs, ces désirs, ces respects, ces envolées, toutes ces petites manifestations d'une existence simplement vécue.

Cordialement à vous tous, vous êtes tous magnifiques.

mercredi 2 juillet 2008

Un peu de douleur, encore

Tranquille, un soir d’été, il fait lourd, j’ouvre la porte-fenêtre du salon pour laisser entrer un peu de la fraîcheur du soir qui s’approche.

La journée de travail m’a occupé pleinement, m’a extirpé encore mon énergie, je m’assoupis sur mon canapé ; tiens, je vais enfiler un pull.

« j’ai froid, pourquoi ouvrir et mettre un pull, ça a été ouvert toute la journée »

Me voilà encore surpris par l’illogisme (ouvrir en pleine chaleur au lieu de garder un peu de fraîcheur), par le mépris(« certes tu n’étais pas là, tu ne peux pas le savoir, mais tu devrais quand même puisque pendant que tu travaillais, moi qui était là à choisir mes activités, et bien j’ai ouvert, na »)

Je prends cela dans la poire, rien de raisonnable, rien de discutable, « c’est comme cela, ferme la » ; une violence indicible, un rejet de ce que je peux bien penser, un affrontement autoritaire, même s’il vient d’une désespérance bien ancrée, il fait mal, il ramène dans la dépendance de l’enfance, il détruit insidieusement.

Je fuis ; dans la tourmente il faut savoir abandonner, protéger un tant soit peu son intégrité, réoccuper son esprit par quelque autre activité plus simple, automatique, qui ne pose pas de question.

Vais-je arriver un peu plus tard à revenir examiner cet événement, le disséquer, analyser ma réaction, prendre conscience et comprendre comment le fonctionnement intérieur a pu encore se laisser emporter dans la souffrance.

Devenir autonome, s’échapper de la dépendance aux injonctions d’autrui, quel qu’il soit.

Oui, mais le besoin vital de reconnaissance, d’affection, lui, il réclame, il résiste.

Comment n’escompter sur personne, surtout pas sur sa compagne qui ne se lasse pas de rappeler les droits de la mère, de la mante religieuse, qui n’arrive pas à se sortir de sa condition sordide pour exister un peu, pour trouver une joie de vivre.

Non, vivre avec ses proches, se réchauffer le cœur sur la braise des émotions, des sentiments, vibrer de mille sensations, de milles espoirs, de mille bonheurs, chaque jour encore un peu de découverte, encore un pas dans l’inconnu qui va vous surprendre, vous offrir merveilleusement ces ressentis qui vous font prendre conscience de votre corps, de vos esprits, de vos bonheurs successifs.

En pratique

Entendre

Esquiver = le réflexe pour la survie

Analyser et comprendre

Se pardonner d’accepter encore de subir

Pardonner à ceux qui ne disposent pas encore des facultés adaptées à la relation respectueuse, de l’expérience du comportement vers le partage

Réagir et faire face, prendre sa place

Assumer ses responsabilités

Exprimer ses ressentis pour soulager sa conscience, pour échanger et se faire comprendre

Parler, agir pour essayer, pour sortir d’un état passif de spectateur dépendant

Se libérer, oser, vivre.


mercredi 11 juin 2008

L'open de golf de Saint-Cyr les Poitiers

Une magnifique fin de semaine.

Yves est en compétition.
Il a joué vendredi : un score acceptable, tout est possible sur ce parcours tellement particulier et ardu.

Je le rejoins ce samedi matin.
Quelle chance, je le retrouve, nous mangeons un bout ensemble et c'est l'occasion encore de discuter et d'explorer le fonctionnement mental. Trouver la voie pour ressentir la vie et le plaisir, simplement, et s'ouvrir la liberté d'être soi-même.

Je tire la charrette.
Super de pouvoir partager un moment d'existence avec mon fils, un moment de partage magnifique pour moi.

La capacité de jeu est bien là. La tension fait envoyer quelques balles sur des trajectoires incertaines, parfois originales. Mais c'est ainsi. La perfection n'est pas humaine. Derrière, c'est l'occasion d'exploiter tout son savoir faire pour revenir dans le jeu et dans le score. Un petit jeu excellent, souvent; un putting excellent mais avec une réussite partielle. Juste encore à trouver le rêve et la confiance pour que ces putts sur des greens glissants puissent plus fréquemment entrer dans la caisse.

Dans le par au début des deux derniers trous, qui ne donneront que deux bogeys, mais quand même le cut pour jouer le lendemain et entrer dans les points.

Le dimanche, une journée ensoleillée et un score dans le par en réussissant les deux derniers trous : un birdie et un par avec deux putts fantastiques. Chaque jour est différent, comme chaque instant et chaque trou. Toujours inventer une tranche de vie originale.

La satisfaction du résultat, la maîtrise toujours améliorée de la tension, tout cela construit petit à petit une réalité positive, des émotions chaleureuses, une confiance grandissante. L'espoir d'une vie toujours plus empreinte de bonheur pour soi et pour ses proches.

Profitez de chaque instant, acceptez les épreuves et trouvez votre voie pour les dépasser, grandir, et jouir de votre passage ici bas.

Bon parcours à vous tous.

mercredi 28 mai 2008

Quatre mariages et un enterrement

La douceur de l'attirance me ramène à mes valeurs profondes d'humain fragile et innocent, fougueux et talentueux, sensible et hésitant.

La relation humaine est le sens de la vie, y compris avec soi-même.

Laisser vivre mes sentiments, mes émotions, mes ressentis.

Lâcher prise d'avec les injonctions, les exigences, les pressions extérieures à nous mêmes.

Accepter ses erreurs porteuses d'évolution, pardonner à chacun de n'avoir pas encore su...et surtout à soi même, inventer, agir, oser sur notre chemin de découverte.

Le film me replonge également dans la réalité de la fin, de la mort. La crise de l'ancien, du bon vivant, de la référence de convivialité, me rapproche de mon père décédé il y a déjà dix ans. Et mon corps pleure, mon esprit abandonne ses douleurs si précieusement conservées, pour garder un peu de mes bonheurs passés; mais désormais comment ne pas assumer, faire face à ma responsabilité d'exister, seul et sans appui que mes valeurs si patiemment développées.

Et je pleure, et je souffle, le souffle c'est la vie, je souffle pour évacuer, pour nettoyer toutes les douleurs subies, celles de mon père : qu'il soit enfin libéré des agressions endurées, qu'il soit enfin libéré de ses manques de reconnaissance, d'affection simple et véritable.
Et je souffle, tout cet air rédempteur qui emporte les toxines, les tensions, les décompose et les rends inactives, dérisoires.

Encore un pas sur mon chemin, je fais ce que je peux, j'ose me découvrir et découvrir d'autres voies que ces raisons d'une logique compréhensible; j'ose me laisser aller à l'inconnu qui m'appartient autant que le déjà connu, à mes capacités insoupçonnées, celles qui m'attendent, qui sont là présentes et ne demandent qu'à s'exprimer pour autant que je leur en donne le loisir.

Encore un petit pas pour moi : n'hésitez pas, vous pouvez aussi découvrir, expérimenter, pratiquer tout ce qui vous conviendra : faites votre choix et osez, vous verrez comme c'est bon de changer : c'est le mouvement, c'est la vie.

mardi 27 mai 2008

L'Open de golf de Bordeaux

Le rôle de caddet.

Yves a passé le cut à l'Open professionnel de Bordeaux, de justesse, mais il peut jouer la seconde phase.
Je l'ai rejoint, et quelle chance, je l'ai caddeyé.

Un samedi sous la pluie, alternant pieds dans l'eau et parapluie. Il s'accroche malgré la difficulté; il arrose un peu à droite et à gauche, mais son magnifique petit jeu lui permet de sortir un score de +1, ce qui s'avère très satisfaisant.

Un dimanche sous le beau temps. Il démarre bien. Le jeu est cependant laborieux. Il ne sait pas où la trajectoire de la balle va l'emmener. C'est dur. Le résultat ne sera pas bon. oh, cela ne tient pas à grand chose quand même. Quelques putts qui frôlent le trou et ne rentrent pas. Une accumulation de coups aléatoires, qui consomment l'énergie et bouffent petit à petit le mental.

Comme il dit : ça psychotte.
Chaque coup dans la douleur; chaque fois la grimace qui s'étire à la montée du club; le reflet de l'incertitude et du doute.

Nous aurons parlé, beaucoup, après coup, lors de la récupération. La parole est un outil magique. Retrouver sa nature, sa confiance, oser jouer sa vie à chaque pas et vivre vraiment.

Le jugement, je l'explose, cela suffit; les conditionnements de l'enfance, de la société, ne me correspondent pas, ce n'est pas moi, moi j'ai le droit de réussir, je suis capable de m'assumer et de profiter du bonheur.
Je vais me faire du bien, ainsi je pourrais encore mieux faire du bien à mes proches.

La libération est prochaine. Ce sera magnifique. Je vais être surement étonné de tant de simplicité, de facilité.
C'est sûr, je vais trouver la vrai confiance en moi.

Que votre vie soit emplie de joies et de moments d'éternité.

mardi 20 mai 2008

L'ostéopathie

La rencontre avec la guérisseuse du corps.

Depuis longtemps je résiste à la manipulation, à l'approche inconnue des expressions corporelles.

Cette fois j'ai décidé de m'occuper un peu plus de moi et je franchis à nouveau ce pas déjà initié il y a quelques décennies, sans réel succès.

Magnifique, je livre les douleurs de mon corps à ces mains agiles et fermes qui viennent délivrer les raideurs musculaires introduites au fur et à mesure des évènements difficiles .

Des exclamations sur l'état de ma cheville bousculée par une entorse il y a deux ans, sur celui de mon genou qui a du subir les compensations tentant de soulager ma hanche soumise aux torsions du golf et à la répétition de la course à pied.

Une exclamation sur l'état de mon crâne torturé par un choc contre un meuble lors d'un évanouissement du matin à l'heure du petit déjeuner.

La compétence de cette femme mince éclaire ces observations et les rends admissibles et source d'espoir. La remise en état de mon corps devrait rétablir une harmonie avec mon esprit et lui redonner encore un peu plus de goût, celui de la vie, celui qui vous porte à chaque instant et vous fait vibrer de chaque émotion acceptée et ressentie.

La délivrance des tensions du crâne élimine déjà une partie des maux de tête si lancinants.

Si vous avez quelque difficulté, croyez en vous et osez tenter des approches différentes de celles que vous connaissez.

Votre persévérance dans les actions déjà entreprises vous portent vers votre avenir magnifique.
Vos nouvelles acceptations vous amènerons à l'occasion vers des solutions complémentaires, vers la chance de pouvoir connaître des diversités multiples qui toutes vous permettent un pas sur votre chemin.

Allez, positifs, l'inconnu est votre bonheur et votre bien-être quotidien !

dimanche 4 mai 2008

L'émotion

En ce premier mai, l'occasion d'un retour au cœur de la ville de Rennes, lieu d'enfance de mon épouse, une partie de son histoire.

Au calme dans les rues animées, les souvenirs reviennent, les bons qui réchauffent l'âme, les regrets qui déchirent l'esprit.

Le souvenir d'une union de dépit, d'une décision irraisonnée : dire oui au lieu de dire non.
Comment faire pour s'assumer alors que l'amour est malmené ?
Comment faire pour exister alors que s'écroulent les illusions ?
Avoir le courage de choisir alors que l'expérience n'est pas encore acquise !

Je n'y résisterai pas.
Le soir venu, mon esprit m'a ouvert cette résistance ancestrale : les sanglots sont venus; j'ai pleuré et pleuré encore.
Les regrets des actes manqués, de l'absence, et de l'absence d'un comportement adapté.

J'ai lâché prise, encore, encore un peu plus; que de chemin encore à parcourir pour libérer toutes ces tensions accumulées patiemment au fil des ans, accumulées sans rien y voir, sans comprendre que la vie c'est notre choix, que nous pouvons à chaque pas décider selon nos élans et pas uniquement selon nos apprentissages subis.

Oh, les circonstances de la vie sont inexprimables, incompréhensibles, aléatoires; ou plutôt ce sont nos comportements qui le sont, inattendus, inexplicables.
Allez, la vie est passée, ou presque : trop tard pour le passé; pour l'avenir "sois un homme mon enfant, libères toi du joug du devoir acquis à coups de jugements de valeurs, de contacts conditionnés.

Nous sommes magnifiques, vous êtes capables de mille merveilles, osez choisir à chaque instant selon votre vérité ressentie, selon vos envies si belles, selon tout l'amour qui vous habite.

Tout est possible, dès maintenant.
Orientez votre esprit vers le bonheur, le votre et celui de vos proches d'aujourd'hui et de demain.
Vivent les diversités et les émotions multiples qui vont vous surprendre à chaque détour, à chaque moment ou vous profiterez de l'occasion pour admirer les beautés, pour insuffler les senteurs, pour rêver.

Que votre vie soit la votre.

jeudi 24 avril 2008

Allez, debout

Oh ma douleur, dis moi ce qui est bon pour moi !!!

Encore une épreuve,
toujours accroché au résultat, à la recherche d'une satisfaction après la réussite, au besoin de se faire reconnaître dans l'accomplissement social.
Alors oui, l'échec reste cuisant, le sien propre ou celui de ses proches, de ses enfants, celui que l'on déteste et que l'on trouve insupportable ... mais que l'on se complet toutefois à supporter ... pour montrer que l'on est fort. Toujours dans la même spirale infernale de parvenir à ces fins édictées par d'autres et que l'on a néanmoins acceptées ... pour faire plaisir, pour combler un peu du manque, du manque d'affection ressenti tant de fois.

Oh ma belle douleur, je t'accepte, je te ressens, je t'écoute.
Exister, c'est déjà cela, c'est déjà prendre conscience de nous, de nos sentiments, de notre perception du milieu qui nous environne, de ses beautés, de ses acteurs de passage, des échanges et du partage en s'ouvrant inconditionnellement à l'autre, à toutes les richesses diverses qui se présentent et s'offrent ainsi dans notre univers.

Bien sûr, votre confiance vous permet cette envie de découverte, cette ouverture à l'inconnu, cette capacité d'adaptation et d'appréhension d'une diversité de pensées et d'amours.

Vous le méritez, vraiment. Osez voir et imaginer. Osez reconnaître et ressentir. Et si vous ne vous y retrouver pas parmi vos apprentissages et vos expériences, bravo, quelle chance, un nouveau bout de chemin enchanteur vous attends. Délectez vous de chaque pas, de chaque choix, tout cela c'est vous, par petits bouts, apprivoisez vous et votre numéro d'équilibriste deviendra un magnifique numéro d'artiste.

Je vous souhaite une irrépressible ardeur. Découvrez vous, soyez vous, soyez vrai et l'espoir vous porte.
Cordialement, Patrick.

samedi 19 avril 2008

L'ouverture


Vos paumes tournées vers l'univers, s'épanouissent au bout de longs bras détendus.
Vous acceptez les vibrations, les émotions, les énergies qui rayonnent, virevoltent, s'amusent librement au gré de pensées spontanées.
Votre implication légère dans cette harmonie fait que vous êtes vraiment vous, au beau milieu des airs merveilleux du monde qui vous enveloppe.

Simplement, vous respirez, vous ressentez la détente vous envahir, plus rien à maîtriser, seulement à exister.
Les battements de votre cœur rythment vos avancées, vos découvertes, vos satisfactions.

Le bleu du ciel profond vous rassure, le gris des voiles nuageux apaise les lueurs du soleil généreux qui vous
inonde de vitalité, la verdure de la terre et des arbres accroche votre regard, le paysage vous emplit de naturel, vous vous exprimez avec votre être, votre corps participe à transmettre votre enthousiasme, votre âme respecte votre entourage et vous offre la force de la liberté.
Vous êtes magnifique, Vous l'acceptez.

Je vous souhaite une belle démarche, svelte et élégante, sur votre chemin radieux.

mercredi 16 avril 2008

La durée

Si vous aviez le loisir de choisir le déroulement de votre journée,
ou de votre existence tout au long de cette présence en notre monde merveilleux,
que décideriez-vous ?


Si vous aviez la possibilité d'apprécier la plénitude de certains instants,
lesquels retiendriez-vous ?


Si vous vous donniez le droit d'exprimer vos ressentis,
duquel parleriez-vous en premier ?



De tout cela vous êtes capable bien sûr.
Vous disposez pleinement de vos sens, de votre raisonnement, de vos vibrations en toute circonstance, de votre libre arbitre pour accepter vos sensations et orienter votre action dans la recherche de votre chemin, de votre vie.

Chacun de vos choix vous offrira la satisfaction de guider votre parcours, d'assumer votre responsabilité, de gouter à l'épaisseur de l'instant, s'inscrira dans la durée immédiate du bonheur et dans la durée différée de votre mémoire. Vous serez fier d'avoir vécu.
Puissiez-vous, dès maintenant, renforcer votre expérience, développer vos émotions...

Moi, j'essaye.
Je reprends mes réflexions du temps passé pour les relier à ma vie présente et continuer de progresser dans la joie et la bonne humeur.
Je vous souhaite de magnifiques réalisations, belles et simples, pour aujourd'hui et pour demain.

Tenez, voilà en cadeau le préambule de mon livre, déjà commencé il a longtemps, mais ce qui a de la valeur, c'est bien l'effort consenti aujourd'hui.


Se connaître pour reconquérir sa vie.

A Vous.

Qui veut encore souffrir ?

Qui veut mobiliser ses talents profonds ?

Préambule

A tous ceux qui vivent de sensations,

à ceux qui en souffrent ou comme moi en ont souffert , un peu trop longtemps ou même l’espace d’un instant,

je veux dire bonjour, bonne chance sur ce chemin de la réalité qui leur redonnera les vraies émotions, celles qui vous procurent le sentiment de vivre simplement un monde de nature et de bonheur.

Une histoire de tous les jours

Je reprends ma plume, ce traducteur possible d’émotions, sous peu que l’on décide à se regarder un peu, à se livrer à soi même, à ce « moi-je » qui essaie d’exister et de trouver une satisfaction auprès de son entourage.

Je voulais ressortir mon stylo à plume, celle qui crisse sur le papier, maintenue avec quelque crispation par un esprit attentif à bien faire, à bien remplir les pleins et effacer les déliés, pour écrire cette harmonie que nos parents et instituteurs ont essayé de nous transmettre, sans forcément la connaître ou avoir la sage attitude éducatrice, celle qui peut faire que l’enfant s’implique dans une liberté de faire qui lui serait offerte et qu’il imagine et crée sa propre histoire.

Me voilà tout de même devant mon écran, ayant cédé à la facilité matérielle de la modernité en espérant que celle-ci n’endommage pas mes idées, mes sensations, par quelque devoir de respecter les usages ou le mode d’emploi de la pensée sociale convenable et bienfaisante.

Assailli par de multiples épreuves, attentionné à reconquérir un goût affirmé de la joie de vivre, j’ai envie de me plonger dans le verbe, la parole formalisée pour qu’elle ne se perde à ma mémoire, pour qu’elle puisse être transmise par écrit à défaut de n’oser la dire, afin qu’elle puisse être relue, qu’elle prenne une dimension temporelle laissant le loisir, à la compréhension, de prendre son temps, de revenir sur les sens d’apparences rétives.

Peut-être ce regard sur ma triste expérience m’aidera-t-il à m’appuyer sur le concret pour retrouver ma vérité.

Bonne chance à vous dans votre travail d'introspection.

lundi 14 avril 2008

Objectif

Hein...
eh oui, et Vous, Vous voulez dire quoi ?

A chaque instant qui passe, tiens, quelques idées qui chamboulent votre organisation habituelle.
Un dimanche comme un autre, et pourtant, l'esprit qui virevolte et vous fait rêver encore.

J'ai décidé d'entreprendre :
- ce que je n'ai jamais osé vraiment commencé même si j'y ai pensé mille fois
- ce que je n'ai jamais osé finir, même si j'avais commencé avec ardeur
- ce à quoi je n'ai pas encore songé, même si les idées fourmillent.

Alors oui, un objectif pour moi, de décider de créer un objet d'art, une œuvre, une démarche, un partage...

Et vous, pourquoi ne pas tenter un échange, une découverte, un épanouissement.

J'ai envie de mettre en forme mes solutions, mon parcours, mes analyses.
Une aide bien construite, pas à pas, pour identifier les réalités, explorer certaines causes, bien ranger les blocages du passé, regarder avec plaisir et envie les vérités d'aujourd'hui.
Un moyen de relativiser l'imagination fertile en l'orientant vers la beauté, le bien être, pour que je puisse encore découvrir et ressentir ces instants de sérénité ou d'émotion.


Je vous propose tout cela, la vérité de l'existence, la joie de la conscience, la vie quoi.